En réponse à :
Prêtre, ta messe, écho des feux de peloton,
Est une chose impie.
Derrière toi, le bras ployé sous le menton,
Rit la mort accroupie.
Prêtre, on voit frissonner, aux cieux d’où nous venons,
Les anges et les vierges.
Quand un évêque prend la mèche des canons
Pour allumer les cierges.
Tu veux être au Sénat, voir ton siège élevé
Et ta fortune accrue ;
Soit ; mais pour bénir l’homme, attends qu’on ait lavé
Le pavé de la rue.
Peuples, gloire à Gessler ! meure Guillaume Tell !
Un râle sort (...)
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Dernière mise à jour : vendredi 5 décembre 2008